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C'est déjà un Abravanel que le calife abbaside Haroun al-Rachid
(766-809) aurait envoyé en ambassade à Charlemagne (r. 768-814),
que ce dernier aurait reconnu comme descendant de David et à qui
il aurait confié les territoires de Narbonne et d'Arles, avec le
titre de « Rex Judoeorum ». |
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Venu du Moyen-Orient, premier ou non de la lignée en Europe,
depuis le sud de ce qui n'est pas encore la France, a-t-il eu
des descendants pour s'installer par delà les Pyrénées au moment
où débutait la Reconquista et s'y installèrent-ils tous alors
que d'autres centres de vie juive se développaient en France
(Troyes en Champagne), en Angleterre et en Allemagne ?
il
serait ainsi plus facile d'expliquer la présence d'Abravanel,
Abarbanel et surtout de Barbanel ou Barbanell en Pologne, Russie
et états Baltes. Car rares furent les exilés de 1492 à venir
s'établir si loin dans les plaines de l'Europe Centrale. |
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Il est ainsi plus logique de les chercher alors dans les pays
qui reçurent les survivants de cette grande migration :
l'Italie, le Maroc, l'Empire Ottoman (Grèce, Turquie, Égypte,
...); le Portugal, la France (Bordeaux), les Pays-Bas; le Brésil
(occupation hollandaise), l'Amérique du Nord ... |
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Et
les autres, ceux de Pologne, de Russie, d'Ukraine, des
états Baltes ? Y
aurait-il ainsi une lignée non séfarade chez les Abravanel dont
les membres, de ce fait ne pourraient revendiquer l'appartenance
à la descendance du grand ancêtre ? |
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